L’UNESCO fait la promotion du changement de sexe et de l’avortement pour les enfants

By Marianna Orlandi, Ph.D. | September 1, 2017

NEW YORK, le 1er septembre (C-Fam) l’UNESCO (L’organisation des Nations Unies pour l’éducation, les sciences et la culture) a fait la promotion d’un rapport qui soutient les procédures de changement de sexe et d’avortement pour les jeunes sans le consentement des parents.

Lors de la journée internationale de la jeunessse 2017, l’agence de l’ONU – fondée pour reconstruire les systèmes éducatifs après la fin de la seconde guerre mondial – a publié une liste de matiériaux pour les adolescents qui sont parfaitement explicites sur les “droits sexuels”.

Le livret de l’UNESCO lui-même, Les caractéristiques essentielles d’une prévention effficace du VIH suggère entre autres choses, que les individus séropositifs ne soient pas obligés de le dévoiler à leurs partenaires sexuels, même si cela augmente le risque d’infection pour ceux-ci et leurs autre partenaires sexuels.

“Le droit à la santé ne peut être séparé du droit à la vie privée (ceci incluant la vie privée physique et la confidentialité concernant sa séropositivité) et ne peut être supérieur au droit à la vie privée,” selon le livret. L’UNESCO ne fait nul mention du danger pour les autres ni des conséquences sur la santé publique pour les victimes potentielles d’une séropositivité volontairement non dévoilée.

Le même document définit les identités de genre comme la compréhension personnelle “des individus”, indépendemment de leur sexe biologique ou de leur orientation sexuelle.”

Le logo UNESCO figure bien en évidence sur le guide, mais en petits caractères on peut lire l’avertissement suivant: “ Les idées et les opinions exprimées dans cette publication sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les opinions de (l’organisation).”

Quatre des dix sources recommandées par l’UNESCO viennent de la fédération internationale du planning familial (IPPF). Y figurent Amour, droits sexuels et jeunes, qui promeut “ les droits sexuels’ pour les enfants et définit l’accès à la contraception comme un “droit de l’homme”, une chose sur laquelle les états membre de l’ONU n’ont jamais donné leur accord.

“Les droits sexuels et la santé reproductive” impliquent “que les hommes, les femmes et les transgenres aient la liberté d’avoir, de choisir et de contrôler les relations sexuelles”, déclare le planning familial.

L’UNESCO a aussi recommandé le guide du planning familial, “Nous voulons plus!”, qui fait la promotion “une éducation sexuelle intégrale” un terme auquel l’Assemblée Générale de l’ONU continue de s’opposer à cause de son contenu controversé. Le livret fait la promotion de “la positivité sexuelle”, une attitude qui “célèbre la sexualité”.

L’UNESCO a présenté un autre guide du planning familial suggérant des “actions clefs” telles que garantir “l’accès aux traitements hormonaux aux adolescents transgenre et intersexués, avec le soin et l’accompagnement adapté de soignants et sans que le consentement des parents soit nécessaire.”

Le journal gratuit de Woman Deliver (les femmes donnent la vie) “Respectant, protégeant, et satisfaisant notre santé et nos droits sexuels et reproductifs” dit aux adolescents de militer pour leurs “droits sexuels”, et pour “une vie sexuelle satisfaisante, sûre, et agréable”.

L’UNESCO est la seule agence de l’ONU ayant un mandat pour couvrir tous les aspects de l’éducation, sont action est définie dans Education 2030, cadre pour agir adopté à Paris en 2015 par 184 états membres.

Ce document mentionne “une éducation intégrale à la sexualité” une seule fois, sans la définir. Il ne mentionne pas “ la santé sexuelle et reproductive” ni “des droits sexuels”, un terme que l’Assemblée Générale n’a jamais adopté.

Les activités de l’UNESCO relèvent de “l’initiative partage des connaissances” de l’UNAID, nommée HIV(VIH) Centre d’Echange de l’éducation à la santé, qui a été fondé par UNAID et d’autres partenaires extérieurs non spécifiés. Cette initiative a pour but d’offrir “une bibliothèque ressource exhaustive” venant en support des “ministères de l’éducation, agences de développement sociétés civiles, chercheurs… pour développer des politiques efficacesde santé à l’école et d’éducation, programmes et promotions contre le VIH et le SIDA” .

La bibliothèque virtuelle contient des pages suggérant l’efficacité des programmes basés sur l’abstinance, mais ils n’ont pas été inclus dans la liste principale que l’UNESCO a envoyée à ses abonnés.