« Billboard Chris : » Un père canadien se confrontant calmement à l’idéologie du genre

By Rebecca Oas, Ph.D.

WASHINGTON, D.C., 5 juillet (C-Fam) Il a fait face à des foules hurlantes, a été violemment agressé, ses publications ont été censurées sur les réseaux sociaux et a été décrit comme un « activiste d’extrême droite » par le bulletin d’information « Hatewatch » (« Surveillance des discours de haine ») du Southern Poverty Law Center pour son plaidoyer en faveur de la protection des enfants contre une néfaste idéologie de genre.

Malgré tout cela, « Billboard Chris » demeure une présence calme et douce lors des rassemblements et des manifestations, prêt à avoir une conversation avec ses amis comme avec ses ennemis. Chris Elston a voyagé bien au-delà de son domicile en Colombie-Britannique, portant ses panneaux sandwich emblématiques avec des messages tels que « Les enfants ne peuvent pas consentir aux bloqueurs de puberté », utilisant un appareil photo pour documenter ses interactions.

Courtier d’assurance et père de deux filles, Elston a gagné son surnom lorsqu’il s’est joint à d’autres militants pour installer des panneaux publicitaires à Vancouver exprimant leur soutien à l’auteur J.K. Rowling en 2020. Rowling a dû faire face à un flot de vitriol pour ses commentaires critiquant l’idéologie transgenre.

Elston se concentre particulièrement sur la question de la transition de genre chez les jeunes, sur les bloqueurs de puberté et sur l’exclusion de l’idéologie de genre des écoles. «J’ai des conversations avec des gens», écrit Elston. « Le cœur de mon message est que nos enfants sont beaux tels qu’ils sont. Aucun médicament ni scalpel n’est nécessaire.

Ce sont des conversations et des messages auxquels les militants transgenres et leurs alliés sont déterminés à mettre fin. Elston a été agressé physiquement plus de 40 fois et dispose de preuves vidéo pour l’établir. De l’autre côté du monde, Elston est au centre d’un débat sur la liberté d’expression en Australie après que le commissaire à la sécurité électronique du gouvernement australien a ordonné la suppression de l’un de ses messages sur X (anciennement Twitter).

Le message d’Elston critiquait l’inclusion par l’Organisation mondiale de la santé d’un militant transgenre australien dans un comité d’experts chargé de rédiger un nouvel ensemble de lignes directrices sur les soins de santé pour les personnes transgenres et non binaires. Elston a fait un lien vers un article révélant les publications de l’activiste sur les réseaux sociaux, qui incluaient de l’exhibitionnisme, du contenu sexuel explicite et la consommation de drogues illégales.

“Cette femme (oui, c’est une femme) fait partie d’un panel de 20 ‘experts’ engagés par l’@WHO pour rédiger sa politique sur la prise en charge des ‘personnes trans'”, a écrit Elston. « Les personnes appartenant aux services psychiatriques rédigent les lignes directrices de personnes qui appartiennent aux services psychiatriques ».

Elon Musk, le propriétaire de X, a pris la défense d’Elston, poursuivant le commissaire à la sécurité électronique pour l’ordre de retrait.

Elston a emmené son microphone, sa caméra et ses planches sandwich partout au Canada, aux États-Unis et en Europe. Bien qu’il soit équipé de statistiques et de citations, qu’il documente également sur son site Web, son titre principal est celui de « papa », défini sur l’un de ses tableaux comme « un homme humain qui protège ses enfants contre l’idéologie du genre ».

Lorsqu’Elston a assisté à un événement organisé par le groupe conservateur Moms 4 Liberty (mamans pour la liberté), le Southern Poverty Law Center l’a contacté au sujet d’un prochain article qui mentionnerait ses « attaques contre la communauté transgenre ».

Elston a répondu en louant le travail de Moms 4 Liberty et de ses alliés, exprimant son plaisir « d’être inclus parmi des individus et des organisations aussi estimés ».

Quant à la question de la médecine du genre chez les jeunes, il a balayé l’accusation d’être « d’extrême droite ».

“Mes opinions sur cette question sont fondées sur des preuves et partagées par les organismes médicaux progressistes d’Angleterre, de Suède, de Finlande et de Norvège”, a déclaré Elston au groupe de gauche. “Vous devriez peut-être faire quelques recherches.”

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