Les USA pulvérisent l’Idéologie du genre à la Conférence des Nations-Unies
NATIONS UNIES, 26 Septembre (C-Fam) Trente ans après la déclaration faite par la première Dame Hillary Clinton que “les droits des femmes sont les droits de l’homme et que les droits de l’homme sont les droits des femmes,” au cours d’une conférence spéciale des Nations-Unies, les États-Unis ont reproché aux Nations-Unies leur évidente confusion à propos de la condition féminine.
En parlant au nom des États-Unis durant un événement commémorant la Quatrième Conférence Mondiale sur les Femmes tenue à Beijing, la représentante américaine Bethany Kozma a posé cette question : “Quel succès devrions-nous célébrer quand les Femmes des Nations-Unies, la première organisation des Nations-Unies consacrée aux femmes, après toutes ces années, ne peut toujours pas définir de façon simple une femme ?”
Cet événement faisait partie de l’ouverture au sommet de l’Assemblée Générale des Nations- Unies, et les intervenants comprenaient des présidents, des premiers ministres, des reines, des première dames et des représentants de haut niveau des gouvernements nationaux.
L’observation de Kozma a illustré les priorités pro-famille de l’Administration Trump et a affirmé que le sexe n’est pas seulement un fait scientifique, mais une caractéristique de la Création par Dieu. Elle a souligné que les parents, et non pas l’état, ont le dernier mot pour déterminer ce qu’on doit enseigner à leurs enfants, et que le profil des Nations-Unies sur l’éducation sexuelle inclusive “est une violation des droits des parents.”
De nombreux autres représentants gouvernementaux sont intervenus pour soutenir le rôle central de la famille pour préserver les droits des femmes. La Hongrie a remarqué que la définition de la famille est “sous attaque de la part de l’idéologie du genre extrémiste ”. Et a cité certaines lois hongroises pour assurer à la famille de ne pas avoir à choisir entre avoir des enfants et éviter la pauvreté. Le Burundi a souligné les acquis convenus en 1995 à Beijing et la valeur de la maternité pour la société.
Par contre, plusieurs gouvernements ont relâché des déclarations mettant en garde contre le “contrecoup” aux acquis du féminisme et concernant les femmes dans “toutes leurs diversités”, ce qui est un euphémisme commun aux Nations-Unies pour y inclure les hommes qui revendiquent d’être des femmes. La Suède a rabâché que “il est vital de défendre les droits sexuels et à la santé reproductrice,” et a implicitement mentionné “l’avortement sanitaire et légal”. L’Espagne s’est affichée comme “orgueilleusement féministe” et a cité son récent élargissement du droit à l’avortement. L’Islande, la Nouvelle Zélande et le Brésil ont souligné les droits LGBTQ+ dans leurs déclarations.
Au début de tout événement de l’ordre du jour, les représentants de certaines agences des Nations-Unies et organisations spécialisées dans les droits humains des femmes ont également relâché des déclarations. Une représentante du Groupe de Travail sur les Femmes et les Filles a dénoncé “les défis pour la conception de l’idéologie du genre” et “les narrations rétrogradées”, attirant l’attention sur une déclaration récente formulée par plusieurs mandataires des droits de l’homme, où on insiste sur l’importance que l’idéologie du genre est à l’opposé du sexe comme réalité biologique binaire.
Reem Alsalem a pris sa relève, cette rapporteuse aux Nations-Unies sur la violence contre les femmes et les filles, qui a été la cible de la déclaration des souteneurs de l’idéologie du genre à cause de ses rapports qui défendent la réalité et l’importance du sexe biologique. Alsalem a rappelé aux pays membres des Nations-Unies de se référer à l’agenda approuvé à Beijing avec “courage et honnêteté” en “réaffermissant la dignité et l’humanité intrinsèque des femmes” qui spécifie “la vraie intégrité de l’être féminin.”
Elle s’en est prise à la “croissante marchandisation et objectivation des femmes et des filles” par le biais de la prostitution, de la pornographie et du marché de leurs facultés reproductrices, comme la maternité de substitution.
En remarquant que la Déclaration et la Plateforme pour Agir de Beijing mentionne 176 fois le mot “sexe”, Alsalem a dit que ses promoteurs “n’en croiraient pas leurs oreilles en apprenant que certains évaluent que d’affirmer cette vérité est une marque de haine, obsolète ou rétrogradant.”
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