L’OMS adopte des règles de censure pandémique
NEW YORK, 7 juin (C-Fam) L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement adopté des règles de contrôle social initiées par les gouvernements occidentaux pendant le COVID, la plus alarmante étant la censure des critiques. Ces nouvelles règles viennent sous forme d’amendements à un accord connu sous le nom de Règlement sanitaire international.
Les nouvelles règles internationales, initialement proposées par l’administration Biden pour renforcer la coopération et le partage d’informations lors de futures pandémies, reflètent de près les politiques de Biden pendant la pandémie de COVID-19. Elles donnent à l’agence de santé internationale de nouveaux pouvoirs étendus non seulement pour déclarer et gérer de futures pandémies, mais aussi pour interdire la parole et imposer des passeports sanitaires numériques.
Les amendements listent “traiter la désinformation et la mésinformation” parmi les “capacités essentielles” dont les pays ont besoin pour se préparer à de futures pandémies. Les amendements donnent à l’OMS l’autorité de coordonner et de guider comment les pays développent un tel régime de censure.
Pendant la pandémie de COVID-19, l’administration Biden et d’autres pays occidentaux ont ordonné la suppression des informations sanitaires qui pouvaient être en contradiction avec les bulletins de l’Organisation mondiale de la santé.
Les responsables de l’administration ont dirigé des centaines d’employés fédéraux pour scruter internet et communiquer avec les médias traditionnels et sociaux afin de supprimer toute information contredisant les politiques sanitaires officielles de COVID-19. La suppression spécifique comprenait l’efficacité des vaccins, le mandat de vaccination, le port du masque et les informations sur les traitements alternatifs pour le COVID-19.
L’administration Biden a également promu la vaccination obligatoire et ordonné la suppression des critiques de telles politiques. Bien que l’administration ne puisse pas imposer des mandats de vaccination aux gouvernements des États, elle a forcé les vaccins sur les employés fédéraux, et a dit aux entreprises de médias traditionnels et sociaux de retirer toute information sanitaire critique de tels mandats.
Bien que ces abus aient attiré l’attention politique ces dernières années, y compris à travers les Twitter Files, l’aspect international du scandale n’avait pas reçu d’attention politique et médiatique jusqu’aux négociations du traité pandémique ces derniers mois.
Ce sont des responsables internationaux du bureau du Secrétaire général de l’ONU et du Directeur général de l’OMS qui ont d’abord demandé aux gouvernements ainsi qu’aux entreprises de médias traditionnels et sociaux de contrôler le flux d’informations sanitaires au début de la pandémie. Cela incluait la censure de tout message opposé aux mandats de vaccination, remettant en question l’efficacité des nouveaux vaccins expérimentaux et soulevant le spectre des effets secondaires négatifs de tels vaccins. Cela incluait également la promotion uniquement de la propagande sanitaire approuvée.
Le Règlement sanitaire international soulève également la possibilité pour l’Organisation mondiale de la santé de développer un système de passeports de vaccination internationaux, y compris des passeports sanitaires numériques.
Les amendements de l’administration Biden dirigent l’OMS à “développer et mettre à jour, selon les besoins, des orientations techniques, y compris des spécifications ou des normes liées à l’émission et à la vérification de l’authenticité des documents sanitaires, tant au format numérique qu’au format non numérique.”
Le Règlement sanitaire international est un ensemble de règles standard pour harmoniser les politiques de santé publique mondiales. Bien que l’agence internationale et de nombreux pays les considèrent comme contraignants, l’administration Bush a rejoint les règlements en 2005 sans demander l’avis et le consentement du Sénat américain.
Les amendements adoptés la semaine dernière devaient être convenus en tandem avec un traité pandémique international pour aider à fournir une aide économique aux pays pauvres afin de se préparer à de futures pandémies. Cependant, le traité pandémique n’a pas pu être adopté la semaine dernière et les négociations sur cet accord devraient se poursuivre jusqu’en 2025.
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